L’archéologue doit connaître la provenance du marbre utilisé dans les sculptures et les constructions antiques : cet indice l’aide à déceler des faux, des copies, des ajouts postérieurs, assembler des fragments d’un même œuvre et parfaire les connaissances des échanges au cours du temps.

Si certains marbres colorés sont plus ou moins facilement reconnaissables, ce n’est pas le cas des marbres blancs. En effet ces derniers présentent un aspect uniforme suite aux modifications subies lors du métamorphisme.

Elément majeur: les analyses devaient être faites et interprétables avec une très petite quantité de matériel puisqu’il est impensable d’effectuer des prélèvements conséquents sur des sculptures.

Quelques  résultats intéressants obtenus par ces méthodes sont présentés dans cette conférence.